Maquettisme, une passion grand format

La Parenthèse

07/10/2024 - Lu 842 fois

Christian Stock. Je suis maquettiste, j'ai rejoint le Maquette Club des Mauges en 2017.
Quant à savoir ce qui m'a donné l'envie de faire du maquettisme, ça remonte à mon enfance les premières maquettes. Et puis, quand je suis arrivé ici à la retraite, c'était tout naturel pour moi que de rejoindre ce club.

"Au début de la maquette" "C'est du fil de fer torsadé qu'on habille." "Et après, on peint"

Je peux facilement passer sur une boîte de maquettes jusqu'à 300 heures parce que je refais des pièces. J'améliore.
En général, on achète une maquette dans le commerce sous la forme d'une boîte qui comporte des pièces en plastique qu'il faut assembler, coller, mais aussi peindre.

"Donc voilà, là-dessus, il y a tout." "Il y a les fauteuils," "des pièces du moteur." "Et puis là, on aura tout ce qui est" "les pare-chocs chromés, les roues chromées..."

Quand on veut arriver à une certaine exactitude, on est amené à refaire des pièces, a en améliorer d'autres.

En règle générale, chacun travaille sur sa maquette. Les exceptions, c'est par exemple sur le réseau ferroviaire où nous sommes plusieurs à travailler chacun dans un domaine différent. Il y en a un, par exemple, qui s'occupe du réseau en lui-même, c'est à dire la pose des voies, des aiguillages, l'alimentation électrique.
Plusieurs autres qui vont travailler, par exemple sur les bâtiments.

La patience. Ça, c'est la première des vertus que cultive le maquettiste. La curiosité, justement. Aller vers des recherches pour trouver quelque chose qui va passionner dans l'exécution.
Et puis également l'amour du travail bien fait. Tout simplement.